Oui bien sûr et cette étude le confirme avec un écart de 11% entre le groupe mind mapping et le groupe contrôle.
Personnellement et avec le retour des enseignants que je forme, je remarque une augmentation de 20% des résultats en secondaire qu’il faut peut-être relier à la motivation.
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L’apport de la carte mentale (mind mapping) pour évaluer à distance en temps de pandémie.
31 mars 2020Les cartes mentales s’introduisent de plus en plus dans le monde de l’enseignement et constituent un accès de choix pour évaluer les connaissances et la compréhension des étudiants.
La carte mentale est appréciée par les jeunes qui saluent principalement l’utilisation des mots clés (« moins à écrire, à étudier »), la vision globale (qui aide à la compréhension) et l’utilisation des couleurs et dessins (« c’est plus motivant »).
Elle permet à l’enseignant d’avoir un accès direct sur le processus cognitif des élèves, par la matérialisation du cheminement réflexif. L’enseignant pourra dès lors agir directement au bon endroit pour rectifier certains apprentissages.
Selon Johssua et Dupin (1993), « le savoir de l’expert apparaît à la fois comme organisé, mis en structure et fortement hiérarchisé »1. La carte mentale apparaît dès lors l’outil idéal pour l’évaluation, tant formative que sommative.
Chacun sait désormais que le Coronavirus est source d’angoisses. Nous sommes bombardés de toutes parts par des nouvelles plus inquiétantes les unes que les autres. Il n’est pas facile, dans de telles conditions, de garder la tête froide et de rester centré. Entre émotion, intuition et raison, notre cœur balance de manière non équitable et nous emporte dans les scenarii les plus fous.
C’est précisément ici que la réalisation d’une « mind map » s’avère utile, dans le but de voir la situation sous un angle différent, de nous replacer au centre de notre vie et d’en reprendre les commandes.
Jean-Claude Simon est enseignant en mécanique et électricité et a introduit les cartes dès son retour de 2 journées de formation.
Voici ce qu’il en dit :
J’utilise le mind mapping depuis l’année 2000 et le déclic a eu lieu en 2009, lorsque j’ai commencé à l’utiliser lors de situations d’accompagnement psychothérapeutique…c’était bluffant d’efficacité !
Je me suis rendu compte que cette méthode permet un recentrage profond et libère les ressources intérieures de chacun par un état cognitivo-hypnotique.
Depuis, je forme de nombreux professionnels de la santé et de l’accompagnement à cette méthodologie et la pratique comme accompagnement au changement.
Une formation ouverte à tous est prévue les 13 et 14 mai, et les personnes ayant participé à la formation d’un jour peuvent participer uniquement au second jour.
Plus d’infos sur ce lien.
J’ai eu l’honneur de participer à ce projet collectif…quelle belle expérience.
Quel hasard : j’ai contribué pour une toute petite part au magnifique film Na-wewe scénarisé par mon petit cousin Jean-Luc Pening et j’avais demandé que mon nom ne figure pas, mais que soit repris « la fourmi ».
Alors quel plaisir de voir le logo d’Ecolaborative :
Merci Guillaume pour ta confiance